
Une preview qui nous fait un peu palpiter à l'avance sur un résultat final qu'on espère historiquement complet ainsi qu'un nombre de modes de jeux qu'on espère viable sur le live pour une fois. A suivre, mais bonne pioche pour le moment.



Deuxième tome des Annales du Disque-Monde, Le huitième sortilège lève le voile sur l'univers des sortilèges de ce monde fou-fou-fou.

Age of Empires III n'est pas qu'un jeu vidéo. C'est aussi un jeu de société doté de mécanismes de placements. Exit les grosses bagarres à outrance, place à la gestion et aux découvertes.



Cyril Pedrosa continue d'auto-croquer brillamment sa vie de famille écolo-bobo, toujours partisan du « faites ce que je dis, pas ce que je fais, sauf quand j'arrive à faire ce que je dis que je vais faire ».

Nazis et surnaturel réinvoqués pour une remise à plat de Wolfenstein. Pourtant, rien n'a réellement changé. On tue toujours linéairement, et le décor n'est même pas à la hauteur.



Très bon numéro deux pour une saga tous terrains et tous joueurs. Un travail graphique de pointe avec un réalisme un peu rehaussé par rapport à son petit grand frère sensiblement plus arcade. C'est du très bon fun au programme. Vroom Vroom !


Le monde se dirige-t-il vers une nouvelle guerre froide ? L'agent Alpha est-il un traître ? Intrigue solide et complot machiavélique à l'ancienne au programme des nouvelles aventures de Dwight Tyler !

En 1998, Elmore Leonard était sur tous les fronts. Quentin Tarantino et Steven Soderbergh livraient chacun une adaptation d'un de ses romans, avec Michael Keaton en dénominateur commun.





Tour de force : Audiard réussit à faire naître un souffle novateur dans le cinéma français. Résultat : un Grand Prix à Cannes pas immérité.

Stéréotypes et grosses ficelles se croisent dans cette histoire de gangsters sans réelle surface d'adhésion. Par le scénariste des Rêves de Milton, pourtant.


La série laisse filer l'occasion de finir dignement, et rallonge la sauce à coups de rebondissements jusqu'à un final excessif. Dommage, il y a de quoi noyer l'aspect culte des débuts.

Gerard Butler a beau faire son macho de service, L'Abominable Vérité se révèle vite être une comédie romantique des plus convenues. Pas abominable, mais pas loin.
