
Bec n'est pas un familier du travail en solitaire, et c'est dommage. Quand il s'y colle, on peut rester scotché.

Ce tome n'est pas mauvais, il est juste insipide et n'apporte rien à l'histoire globale ; à moins de suivre la série depuis le début, vous pouvez largement vous en passer.


Le "phénomène" High School Musical n'a pas commencé au ciné, mais à la télé. Retrouvez les premières vocalises de Troy et Gabriella dans cet épisode qui n'a presque rien à envier à l'opus ciné.



Deux ans et demi après le premier tome de cette saga qui promettait alors énormément, les auteurs nous confortent dans l'idée que du travail naît la qualité.

Les frères Winchester traquent les démons dans l'espoir de venger leur mère. Un feuilleton haletant mais un brin répétitif, une sorte de X-files allégé en matière grise.

Condensé des souvenirs de quinze personnages haut en couleurs, Tiroirs secrets nous emmène fouiller dans les univers d'un mendiant, d'un boucher, d'une fourmi ou d'un mauvais élève...

Vous n'en pouvez plus de ce joueur de cartes invétéré qui ne veut plus vous lâcher les baskets depuis plus de dix ans. Dommage, il revient encore...

Un titre tout à fait dispensable sur l'univers des monstres nippons. Et d'un serrurier maître des clefs. Quand le Passe-Partout de Fort Boyard influence le manga...


Suite et fin de la saga "à la 24" orchestrée par Stephen Desberg. Le rythme ne mollit pas, et le récit d'espionnage se dote d'une pointe de mysticisme/fantastique. Le tout reste très convenu.

Edouard Baer reprend sa pièce au théâtre Marigny. Une pièce à voir en 360° et totalement à mourir de rire pour peu qu'on aime l'absurde...


Rapport 2008 de l'ACBD

Cette traduction de Sagas islandaises par Régis Boyer est le meilleur moyen pour dépasser les préjugés que l'on peut avoir sur ces peuples qu'on appelle les Vikings, et pour finalement les admirer.


Une série mythique adaptée en manga mythique (pour son délai de parution ?) voit le jour sous la plume de son créateur, Yoshiyuki Sadamoto. Une revisite de l'anime pas vraiment commune...

On le sait depuis La guerre des boutons : les enfants sont cruels. En fait, on le savait déjà avant, mais ce conte de Noël vient le rappeler à point nommé, en offrant à une bande de loustics l'occasion d'éclipser les quelques stars venues dire coucou.

Le Gus du titre revient sur le devant de la scène pour le troisième opus de sa série. Le cow-boy au cœur d'artichaut est omniprésent dans ce nouveau tome qui, bien qu'un mini-cran en-dessous des deux autres, reste une nouvelle preuve du talent de Blain.

Avant-dernier tome du cycle africain pour la série de Dufaux et Mirallès. Les ingrédients sont connus pour la plupart, mais le résultat toujours aussi unique, comme pour le Coca-Cola. Ce n'est pas une raison pour essayer le Djinn-Coca, c'est très mauvais.

Un cow-boy solitaire, a long long way from home, avec un cheval qui parle, ça vous dit quelque chose ? Vous avez tout faux : le personnage de Geof Darrow doit bien plus à Moebius qu'à Morris.

Une excellente adaptation d'un jeu point'n click néanmoins inodore, incolore et sans saveur, qui ne dépasse même pas les 10H. Une grande déception.
