

Un titre de jeunesse de la paire Tajima & Otsuka. Jeunesse est un mot gentil pour dire aussi pas fameux...

Une pléiade de célébrités empilées dans un gloubiboulga sans queue ni tête, dont le seul intérêt réside dans son dérapage progressif vers le loufoque surréaliste.


La seule façon de répondre à la question : « mais quel métier peut bien faire un blouson noir ? »

Gaudin et Danard produisent leur neuvième album autour de Marlysa, et même si les ingrédients du succès sont au rendez-vous, l'intérêt de l'histoire reste douteux.




Après une expérience scientifique auprès d'une dizaine de cobayes, il a été reconnu qu'I love you possède des vertus magiques, améliorant le moral et la santé.

Premier album d'une saga de cinq sous titrés With Great Power, celui-ci donne envie de lire la suite et tient ses promesses sans transcender le genre. Une lecture somme toute agréable.

Une deuxième partie bien plus enlevée que L'instinct de mort sorti le mois dernier : Jean-François Richet et Vincent Cassel flattent la légende dans le sens du poil, et font de Mesrine un Robin des Bois bondissant et sympathique.


Le nouvel opus de Prince of Persia promet un rafraîchissement de la licence à travers un nouveau parti pris graphique et un gameplay renouvelé.

Trois jeunes auteurs se lancent dans cette aventure qui ne laissera finalement qu'une vague impression d'inabouti.

Didier Super est de retour et ça va faire mal aux mâchoires. Y'a du son, y'a du texte, y'a du remix et du live... le talent quoi. Et la classe un peu aussi...

L'élève vient dépasser le maître par des nouveautés majeures et convaincantes. Apollo Justice détrône Trials and Tribulations pour devenir le meilleur des Phoenix Wright.


Le grand retour de Guy Ritchie parmi les réalisateurs appréciés, ça se fête en musique ! Gerard Butler apporte les chocolats !

Une œuvre indienne qui ne manque pas de personnalité, mais dont la maladresse dessert le propos. A trop vouloir éviter les codes de la bande dessinée, Amruta Patil perd autant en clarté qu'en émotion.

Far Cry 2 ou le retour d'un titre qu'on croyait perdu avec le départ de Crytek. Il fallait avoir confiance en Ubisoft, pour nous sortir un des titres majeurs de cette fin d'année.

Un héros à la casquette retournée et sa bestiole vont en défier d'autres... Et voici Poke... euh... Bakegyamon. Mais c'est pas mieux.


Initialisé par les Editions Sarbacane, Rêves de Cabane exauce sous nos yeux émoustillés trente-deux rêves uniques, issus de l’esprit inspiré d’autant d’artistes.

SYN- et E.5131 s'allient pour accoucher d'un theatre sonore, où les errances de Manolo nous sont comptées sur un lit de musiques electroniques, ambiant et industrielles.