
Un CD et une BD. Ou plus exactement, un CD accompagné d'un livre d'illustrations signé Tardi. Une initiative originale pour fêter mai 68... Mais une révolution avortée, ça se fête ?


Bruce Campbell avec son cheval et son grand chapeau n'ont pas réussi à captiver l'audience en 1993. Quinze ans après, on leur laisse une seconde chance ?


Fernandel interprétant plusieurs rôles dans le même film, c'est arrivé plusieurs fois. Mais Fernandel en cow-boy, c'est une curiosité qu'on ne vit qu'une seule fois.

La jeunesse de Gengis Khan, par un réalisateur Russe... Dépaysant et réussi.

Outil pédagogique destiné aux marmots d'il y a quarante ans, ce type d'album est une incongruité complète dans le paysage actuel. Nul doute cependant que certains grands-parents se feront une joie de l'offrir à leurs petits-enfants dépités.



On ne délivrera pas un diplôme de subversion à Juge Fulton - il est à dix mille lieues de cela - mais on adore sa bonne humeur immuable...

Ultra Orange, c'est ultra, et c'est orange. C'est aussi hyper et violet, super et rouge, branché et rigolo, génial et coloré. On adore ou on déteste. Nous, on adore !

Un power trio qui se lance à cœur et à corps perdus dans une aventure en français. La plume est nerveuse, parfois aride, les mots sincères, sensibles...


Entre bonnes surprises et trop plein de violons/piano, (fr)agiles est un album inégal mais qui mérite quelques écoutes.

Cette BD lève le voile sur les moult tentatives de Jésus, Roméo, Moïse et Arthur, qui ont mené à ces moments qui firent d'eux des stars.

Flake Out ne sera pas le disque à tomber dans les pommes que l'on pourrait croire, mais il reste malgré tout une expérience intéressante qui mêle sons metalliques et instruments aux sonorités plus classiques.

A s’adonner à tous les genres, l’album révèle une grande hétérogénéité. Il n’en demeure pas moins bien plus intéressant que bon nombre de réalisations…




L’ensemble intense, même s’il n’est pas parfait, se caractérise par une débauche d’énergie qui donne rapidement envie de trépigner. Electrique !


Vanna Vinci, talentueuse bédétiste italienne, propose ici une visite guidée de la ville de Trieste. Guidée par les fantômes d'Aïda, porteurs d'une image du passé que la jeune fille découvre avec un mélange d'effroi et de plaisir.

Se reposant sur les codes de la fantasy sans en offrir l'énergie, ce premier opus peine à trouver le souffle qui donnera envie de se précipiter sur le deuxième.
