
Un nouveau drama school équivalent à un grand nombre d'autres pour n'être qu'un shôjo qui ne tire pas le niveau vers le haut...




Un récit intemporel écrit par un génie des lettres qui avait saisi le sens du monde.


Lorsqu'un séducteur pervers bien aidé par son physique se permet d'attirer toutes les femmes, seules les plus tenaces ont leur chance et à ce jeu-là, Sakura n'est pas la dernière...


La Cauetidienne ressemble à un vague concours de « qui a la plus grosse ? », sponsorisé de surcroît par une marque de sucettes espagnoles. Ca ne s'invente pas.

Vous n'avez pas pu passer à côté de Yaël Naim. Avis aux retardataires de la découvrir ici même...

Une BD de grande qualité, intimiste et subtile, même si elle ne plaira pas forcément à tout le monde.

Kaamelott en BD, c'est une initiative louable mais pas très réussie. Alexandre Astier ne peut pas être victorieux sur tous les tableaux.



Quoi vous dire de plus ? Le titre parle pour lui...








La fin du deuxième dyptique, situé à Cuba en 1902. Toujours aussi académique, toujours aussi efficace, W.E.S.T. est une série qui assure.

Un Godzilla de poche à Trifouilly-les-Oreillettes : Libon version familiale, moins débridé que Hector Kanon mais bien divertissant quand même.
